A Angoulême, dans les coulisses des allées des expositions du festival de BD, se joue une nouvelle crise diplomatique entre le Japon et la Corée du Sud. En cause : la présentation du travail collectif d'artistes sud-coréens dont le thème se concentre sur les "femmes de réconfort". Ce sont ces femmes, qu'on estime à 200.000, enrôlées de force par l'armée japonaise pour satisfaire les besoins sexuel