On ne rentre pas à la Closerie des Lilas. On passe devant, on aperçoit quelques riches et bedonnantes personnes sur la terrasse soigneusement protégée par un mur de verdure, on hume le parfum des huîtres, mais on n’y rentre pas. On aura bien l’occasion un jour, à l’occasion d’une réunion de famille organisée par une vieille tante fortunée, de s’y asseoir. Ou on y sera convié par les délibérations