"On gagnait tout ce qu'on voulait dans les lupanars de la zone et des camps. Là, c'était la bousculade, un dur, dangereux et écœurant business : cinquante, soixante, jusqu'à cent hommes de toutes les couleurs, de toutes les races, à faire par jour, sous la menace continuelle des avions, des bombardements." Dans ses mémoires ("Souvenirs d'un médecin de la préfecture de police et des prisons de Pari